Ce que nos pièces laissent derrière elles

Ce que nos pièces laissent derrière elles

Matières, entretien et pollution invisible

Chez Audray Hodge, nous pensons que chaque création raconte une histoire. Souvent, on parle de ce que l’on porte, plus rarement de ce que l’on laisse derrière nous. 
Il est temps de retisser le lien entre la matière, le geste, et ce que nos choix laissent derrière eux.

Toutes les matières ne se valent pas

Depuis nos débuts, nous choisissons des fibres naturelles et traçables : coton, lin, laine, soie. Parce qu’au-delà de leur beauté, ces matières respectent un cycle de vie plus doux pour la planète.
Chez Audray Hodge, nous n’utilisons pas de fibres synthétiques (polyester, nylon, acrylique, élasthanne) issues de la pétrochimie car à chaque lavage, ces dernières libèrent des microfibres non biodégradables. Ces fibres, provenant de matières synthétiques, deviennent des microplastiques. Trop fines pour être filtrées, elles rejoignent les océans et les rivières. 
Cette invisibilité, nous la voyons pour ce qu’elle est : toxique. Et nous la refusons. Nous préférons une élégance organique, celle qui disparaît sans trace. 

Entre matière et durée : le soin

Ce lien invisible qui prolonge l’histoire d’une pièce. Un rituel simple, loin de la consommation rapide. Un engagement discret, mais puissant. 
Porter une création est un geste. Choisir comment la porter, l’entretenir, la faire durer ; c’est une intention. 
Chez Audray Hodge, nous pensons qu’une pièce bien faite mérite d’être bien traité. Nos créations sont conçues pour durer, et leur entretien fait partie du geste.

Quelques rituels simples et conscients :

  • Laver moins, et mieux : un coup de vapeur entre deux ports suffit souvent pour certaines pièces.
  • Choisir des cycles courts et doux, à 30°C : pour limiter les frottements et préserver les fibres.
  • Utiliser des filtres anti-microfibres ou des sacs de lavages pour tenues synthétiques : de petits gestes, de grands effets.
  • Éviter les mélanges de matières (ex. : polyester + coton) : plus difficiles à recycler, plus polluants à entretenir.
  • Sécher au vent, laisser le tissu respirer : moins d’usure, plus de longévité.

Une élégance invisible

Nous croyons en une mode qui respecte plus qu’elle ne consomme. Une mode où le beau ne se voit pas seulement ; il se ressent : dans le choix d’un tissu noble, dans le temps qu’on accorde à une pièce ou dans la manière dont on en prend soin. Entretenir une pièce, c’est la faire durer, et la faire durer, c’est déjà protéger ce qui nous entoure.
Et si la beauté naissait aussi du soin que l’on accorde ?

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